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Portrait de la Perfect : Jeanella Pascual

Tous les mois, Perfect Memory vous propose un contenu d’un type un peu particulier : un portrait d’un des collaborateurs de la Perfect. Toujours sur la brèche pour délivrer nos plateformes Raffiné chez nos clients, la Perfect ne jouit que de peu de temps pour prendre du recul sur le projet Perfect. Le département Communication est ainsi ravi de tendre le micro à ceux qui ont fait le passé, qui font le présent et qui incarnent le futur de la société Perfect Memory.

« Travailler dans un environnement comme celui de Perfect Memory nous pousse à penser différemment. »

– Bonjour Jeanella. Pour nos lecteurs, présentez-vous en quelques mots.

Si je devais me décrire en trois adjectifs, je dirais : créative, passionnée et curieuse. Je suis une véritable touche à tout. J’ai la sensation que chaque semaine je me découvre une nouvelle passion : langues étrangères, recettes de cuisine, art, jardinage, destinations de voyages et la liste continue…

– Quel est votre parcours avant d’intégrer la Perfect ?

Depuis l’obtention de mon diplôme à l’université, je me suis aventurée dans le monde des startups en tant que développeur. J’ai travaillé à Manille, la capitale des Philippines et la ville d’où je suis d’origine. Avant de quitter ce poste et m’installer en France, j’ai occupé les postes de designer d’expérience utilisateur, développeur d’interface utilisateur et chef d’équipe.

– Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs quelle fonction occupez-vous au sein de la Perfect ?

Actuellement, je fais partie de l’équipe des interfaces utlisateur, qui travaille sur les interfaces du DAM-as-a-brain. Je suis responsable de l’uniformisation de l’intégration design depuis nos maquettes vers les produits finis. Je m’applique également à améliorer le processus collectif de test des interfaces.

– La vision partagée dans la Perfect est large, comment l’expliqueriez-vous au grand public avec vos propres mots ?

Si nous considérons les activités humaines comme un tout, nous voyons d’un certain point de vue qu’une bonne partie de notre temps nous le consacrons à rechercher. Nous sommes dans une ère où nous produisons chaque jour de grands volumes d’informations. Dès lors, nous nous heurtons aujourd’hui au problème du management efficient de ces données. Il y a des centaines de types de données et autant de domaines à appréhender. La force de Perfect Memory est de travailler avec la sémantique, ce qui nous permet d’appréhender chaque format ou domaine nécessaire.

– Perfect Memory dans 5 ans, c’est quoi pour vous ?

Perfect Memory se spécialise dans le domaine de l’industrie des médias depuis plusieurs années. La beauté de travailler avec le Web sémantique est que nous ne sommes pas limités à n’utiliser que des concepts appartenant à ce champ d’activité. Je fais le pari que Perfect Memory va s’étendre aux champs de la santé, de l’environnement mais également de l’éducation par exemple.

– Pouvez-vous nous parler d’un hobby ou d’un centre d’intérêt qui vous tient à cœur ?

J’ai toujours considéré l’art comme quelque chose de proche de moi. Depuis que je suis petite, j’ai passé de longues heures à dessiner. J’aime dessiner des personnages et j’ai l’habitude de dessiner sur mon ordinateur. Néanmoins, j’ai récemment rebasculé du côté du papier en me consacrant à l’illustration botanique. Pour moi, c’est « l’art qui rencontre la science », car cette activité demande d’analyser le sujet d’un point de vue scientifique et d’être capable de le restituer avec autant de précision que possible.

– Avez-vous une anecdote, un souvenir de travail à Perfect Memory que vous souhaitez raconter ?

Ce que j’aime chez Perfect Memory, c’est la créativité et la camaraderie de mes collègues. Ces qualités constituent en fait l’ADN de l’équipe. Les activités collectives, les présentations attablées, les croissants de bon matin, les diners pour célébrer chaque étape de notre développement, la programmation en binôme ou les réunions de réflexions quand nous nous heurtons à un enjeu théorique de taille : ce sont les moments de convivialités improvisés et les petites attentions qui font sortir Perfect Memory du lot.

– Un message à adresser à nos lecteurs?

L’inspiration est partout. Il y a toujours quelque chose de plus à apprendre même dans les choses les plus banales. Travailler dans un environnement comme celui de Perfect Memory nous pousse à penser différemment. Pour la plupart de nos problèmes que nous rencontrons dans notre vie de tous les jours, les solutions sont en nombre limité, donc nous devons par nous-même en créer de nouvelles. L’information disponible existe en nombre sur Internet, dans les livres, mais aussi auprès des personnes avec lesquelles vous travaillez chaque jour. La collaboration et le partage d’idées sont autant de précieux aspects dans la culture startup.

Jeanella, en voyage.