Actualités

À la une

Emmanuel Wiley rejoint PERFECT MEMORY en tant que Directeur Général

Ce recrutement stratégique fait suite à la dernière levée de fonds réalisée par l’éditeur de DAM en novembre dernier et témoigne de sa volonté d’accélérer fortement son développement, y compris à l’international. Emmanuel Wiley. Crédits DR Steny Solitude, Président et fondateur de PERFECT MEMORY, déclare : « Nous sommes heureux d’accueillir Emmanuel qui aura la responsabilité de mettre en place la stratégie et les ressources nécessaires à l’accélération de notre développement, notamment dans des secteurs plus particulièrement exposés aux big data, ainsi qu’à l’international. Par ailleurs, il aura en charge de préparer l’avenir et de renforcer la structure capitalistique de l’entreprise. » Portée actuellement par le groupe implid à travers sa structure « implid Ventures » qu’Emmanuel dirige depuis Mai 2020, précisons que PERFECT MEMORY développe et commercialise une plateforme embarquant différents modules d’intelligence artificielle interconnectés et un puissant moteur sémantique pour collecter, enrichir et valoriser tous types de contenus : vidéos, photos, fichiers audio, documents textuels… Steny Solitude explique : « Notre DAM-as-a-Brain relie les deux branches de l’IA : la branche de l’apprentissage profond (Deep Learning) qui automatise l’analyse et la classification du contenu et des données et la branche sémantique qui rend le contenu compréhensible et utilisable. » Emmanuel Wiley témoigne : « Je suis particulièrement heureux de rejoindre PERFECT MEMORY, véritable pépite à fort potentiel dans l’univers du DAM (Digital Asset Management) et qui compte déjà à son actif des clients aussi prestigieux que Salto, RTL, France Télévisions ou encore l’un des plus grands clubs sportifs européens. Mon objectif sera d’accompagner les équipes, ainsi que la mutation de l’entreprise vers une organisation plus mature et plus structurée, mais également de préparer l’étape suivante au travers d’une levée de fonds plus significative à horizon 2022. De plus, avec un plan de recrutement de 27 nouveaux talents prévu d’ici deux ans, je veillerai à la bonne adéquation des ressources et m’appliquerai aussi à détecter et à mener à bien de futures acquisitions stratégiques. » Fort de plus de 20 ans d’expérience en banque d’investissement et M&A à Londres (BNP Paribas, Bank of America, Merrill Lynch), en stratégie numérique et développement commercial à Londres (BBC Worldwide), ainsi que dans les opérations et la direction de start-ups à Paris (Kolsquare, Space Cargo Unlimited), Emmanuel Wiley, 43 ans, est diplômé de « NEOMA Business School ». À propos de Perfect Memory Fondée en 2008 par Steny Solitude, Perfect Memory fait aujourd’hui partie intégrante du groupe implid. Avec pour ambition d’apporter à ses clients le meilleur du big data, du Digital Asset Management et du Web Sémantique, la start-up commercialise dans le cloud une plateforme sémantique de gestion des données qui améliore l’accessibilité et la qualité de référencement des offres de players web. Perfect Memory accroît le chiffre d’affaires des players du web par des catalogues produits riches et captifs. Une première version du produit voit le jour en 2013, tandis que la première commercialisation du DAM-as-a-Brain Perfect Memory a lieu en 2017. Perfect Memory adresse le marché des médias, agences médias et du e-commerce. Elle a été nommée « Top 10 Semantic Startup » à l’occasion du SemTech à San Francisco, a obtenu le « Finalist Award » pour la gestion du contenu lors de l’IBC, le prix « Excellence » du Celtic Plus European Cluster,  le prix « Seal of Excellence » de la Commission européenne et le prix « Product of the year » lors du NAB Show 2020. www.perfect-memory.com Contact Presse : Odile PIN – + 33 (0)6 81 80 35 46 – odilepin@r2po.fr ...
Plus

Place à notre nouveau logo

Aujourd’hui marque le lancement de notre nouveau logo, première étape d’un changement d’image global, reflet de la maturité et de l’évolution de notre vision. Le logo historique de Perfect Memory – la planète PM – a été créé en 2008 par la designer d’interaction Clémence Debaig. Nous étions très attachés à ce logo, mais avons senti que l’accélération actuelle de l’activité de Perfect Memory, tant économique qu’humaine, nécessitait un changement plus profond. Un nouveau logo a ainsi été pensé puis créé, nous tenions ainsi à vous partager les coulisses de ce changement. Frédéric Maillot, directeur artistique de Perfect Memory en charge de ce projet, témoigne : « Perfect Memory gère, enrichi et sublime la connaissance avec la volonté de bouleverser le cours naturel des choses. Et c’est pour « se réinventer et donner vie à nos ambitions » qu’il nous fallait repenser notre logo âgé de dix ans maintenant. La rigueur, l’excellence et la créativité dont La Perfect cherche continuellement à faire preuve se devaient d’être subtilement représentés et, aussi surprenant que cela puisse paraitre, c’est la nature qui a inspiré cette création. Ce logo intègre le nombre d’or, ce que la nature a de plus rigoureux. On le retrouve dans la forme des cyclones polaires, des galaxies, des fleurs, des vagues, celle de nos oreilles, des extrémités de nos mains et à présent dans la forme des extrémités des monolithes du nouveau logo Perfect Memory. L’épaisseur des traits, les espaces, les tailles des différents éléments répondent tous à la suite de Fibonacci qui, elle-même, est liée au nombre d’or. Un logo mathématique et rigoureux représenté par des formes naturelles. Certains y verront un hiéroglyphe, d’autres y verront des monolithes similaires à ceux des films 2001, l’Odyssée de l’espace (1968) ou Premier Contact (2016) … À chaque fois, le rapport à la connaissance, dans son accessibilité, son partage et sa restitution en est une partie intégrante. Mais regardez bien, ne pourrait-on pas y voir aussi les initiales de Perfect Memory ? » Lors de la présentation interne du logo le 25 janvier 2021, baptisée « l’épokhè », Steny Solitude, fondateur de Perfect Memory, a partagé sa vision : « Pourquoi l’épokhè ? […] Le terme est peu employé, ou dans des contextes très particuliers. Nous avons voulu l’utiliser dans la définition qu’Edmond Husserl en fait : la suspension du cours naturel des choses. Perfect cherche à suspendre le cours naturel des choses, c’est notre ambition depuis le début sur notre champ d’application qu’est l’ingénierie des connaissances. Nous avons beaucoup évolué, nous nous sommes souvent réinventés pour donner corps à un projet ambitieux dont la portée a le potentiel de bouleverser l’ordre établi. Il était donc temps de revoir ce qui porte notre identité : notre logo. […] Ce logo remplace aujourd’hui celui créé par Clémence Debaig il y a 10 ans et qui, pensé Grand Public, portait la notion de flux de connaissance, de confluence. Bien que notre ambition soit aujourd’hui tournée vers les entreprises, notre volonté de servir les utilisateurs finaux et de simplifier le quotidien des femmes et des hommes qui opèrent au jour le jour la transformation numérique au sein de leur organisation n’a pas diminué. Cette association de l’homme et de la science est désormais au cœur de notre logo qui s’inscrit dans la suite de Fibonacci et du nombre d’or : la rencontre entre les mathématiques et les phénomènes du vivant. De même, une forte ambition encore nous anime aujourd’hui, pour suspendre le cours naturel de choses pour nos clients, nos concurrents, nos marchés. C’est ce message que doit porter le nouveau logo ! »   Au cours des jours à venir, nous allons harmoniser notre identité graphique et déployer notre nouveau site Web. Nous n’avons pas changé, nous sommes toujours Perfect Memory. Mais nous sommes plus cohérents et déterminés à « bouleverser l’ordre établi ». Pour résumer :  nous avons changé de logo. Cordialement, la Perfect. ...
Plus

Big Data Paris : rendez-vous lundi !

La Perfect donnera deux keynotes lors du salon La Perfect est heureuse de pouvoir prochainement vous rencontrer au salon Big Data Paris le 14 et 15 septembre au Parc des expositions. L’équipe sera à votre disposition pour vous présenter les nouvelles fonctionnalités de notre suite logicielle Raffiné™. Vous avez la possibilité de bénéficier d’une démonstration produit à la fois sur le salon – Stand S43 du Village Startup – mais aussi en ligne, en prenant rendez-vous par mail (contact@perfect-memory.com) ou depuis la plateforme du salon. Intéressés par un retour d’expérience  ? Les chefs de projet Perfect animeront deux temps forts du programme du Village Startup : Lundi 14 à 15h salle « Pitch & Démo Startups 2 » : « L’approche sémantique des données au service d’usages métiers : l’utilisation de la plateforme Raffiné™ par une institution sportive », un pitch démo par Mariem Solanet. Mardi 15 à 10h30 salle « Pitch & Démo Startups 2 » : « Raffiné™ : Le DAM-as-a-Brain qui réconcilie les métiers » un pitch démo par Cédric Klein. Pour obtenir un badge, suivre ce lien. Pour se rendre sur place : Palais Convention Centre Hall 7.3 – 1 place de la Porte de Versailles 75015 Paris ...
Plus

Actualités récentes

IBC Accelerator : Perfect Memory dévoile un partenariat avec les studios d’Hollywood

Cette année, l’IBC Show est virtuel et l’équipe Perfect Memory ne prendra pas ses quartiers à Amsterdam comme à l’accoutumée. Nous nous faisions une joie de vous accueillir sur notre stand pour vous présenter les nouvelles évolutions de notre produit phare : la suite Raffiné™. Néanmoins, la Perfect n’a pas chômé cet été et a préparé dans le plus grand secret un partenariat de taille dans le cadre d’un défi proposé par le programme IBC Accelerator. Porté par Movie Labs (laboratoire de recherche et développement d’Hollywood), le projet « Useable VFX Archive » vise à apporter une réponse aux enjeux stratégiques de l’exploitation des archives d’effets spéciaux numériques (VFX). L’enjeu est de taille, Perfect Memory est fier d’inviter chacun d’entre vous à la restitution du projet qui aura lieu mercredi 9 septembre en direct depuis la plateforme IBC. Notre présentation sera délivrée par notre partenaire privilégié Cédric Lejeune, dirigeant de Workflowers et spécialiste des workflows média. Pour plus d’informations sur le projet : https://bit.ly/322Xssp Pour s’inscrire à l’IBC Showcase : https://www.ibc.org/ibcshowcase/ibc-showcase Pour avoir accès en avant-première à notre vidéo de démonstration, vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante : steny.solitude@perfect-memory.com ...
Plus

Hommage à Bernard Stiegler

Philosophe de la technique, professeur à l’Université de technologie de Compiègne, Bernard Stiegler a contribué par ses ouvrages à nourrir les fondements théoriques de Perfect Memory. Il est décédé le 5 août dernier, à 68 ans. La Perfect adresse toutes ses condoléances à sa famille. Hommage. Par Berkeley Center for New Media — 2016 HTNM Bernard Stiegler, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=79724530 Biographie Philosophe, directeur de l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) et président de l’association Ars Industrialis, Association internationale pour une politique industrielle des technologies de l’esprit. Bernard Stiegler est l’un des penseurs français majeurs de la technique. Né en 1952, son parcours intellectuel emprunte au PCF, au jazz et à la prison, où il fera un séjour après un braquage. Proche de Jacques Derrida, il développe une pensée de la technique comme remède et comme poison. Il appelle à s’approprier la technologie afin de pouvoir la transformer. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont La Technique et le Temps (1994-2001), Aimer, s’aimer, nous aimer : du 11 septembre au 21 avril (2003) ou Mécréance et Discrédit (2004-2006). Il est mort le 6 août 2020 à Épineuil-le-Fleuriel. Source : France Culture Le témoignage de Steny Solitude Bernard Stiegler a fondé à l’Université de Technologie de Compiègne la filière « Ingénierie des Industries Culturelles ». J’ai eu la chance et le plaisir d’être de la première promotion de cette filière originale qui mêlait à parts égales humanités et sciences. J’ai eu également l’honneur de rejoindre la petite équipe qu’il avait montée pour réfléchir aux enjeux de l’acculturation du grand nombre aux World Wide Web et à l’écriture audiovisuelle : le projet « Territoires Numériques ». Il argumentait : “L’image animée a une spécificité que n’a pas le texte, tout un chacun peut lire une vidéo sans connaitre la grammaire de son écriture. Cela laisse le champ libre à toutes les manipulations et tous les excès. Il faut changer cela”. De nombreuses frontières ont été repoussées à cette occasion : la première vidéo navigable et interactive dans un navigateur (4 ans avant Flash, Macromedia, Adobe, etc.), la première caméra sémantique, et le premier projet à exploiter les modèles de co-construction, d’économie de la contribution, via l’appropriation d’outils nouveaux et collaboratifs par le grand public. Cela a changé le court de mon existence. Je m’étais rendu à l’UTC pour travailler sur les mécaniques systémiques de transmission du savoir et je découvrais l’épiphilogénèse, les rétentions mémorielles, les objets temporels, Husserl, Adorno, Leroi-Gourhan, Bernard Stiegler et tout un monde intellectuel… La fondation de Perfect Memory est l’incarnation directe de très nombreux concepts portés par l’école de pensée qu’il a fondée à l’UTC et qui a été perpétuée par Bruno Bachimont. Je ne suis pas parvenu à le convaincre de travailler avec Perfect lorsqu’il était à l’IRI, mais, suite à notre dernier échange téléphonique, où je l’avais eu car je m’inquiétais de la santé d’un ami commun, nous avions convenu que nous devions nous revoir en Auvergne pour reprendre nos échanges, il y habitait jusqu’à cet été. On croit toujours qu’on a le temps devant soi. ...
Plus

Portrait de la Perfect #7 : Julien Pervillé

Tous les mois, Perfect Memory vous propose un contenu d’un type un peu particulier : un portrait d’un des collaborateurs de la Perfect. Toujours sur la brèche pour délivrer nos plateformes Raffiné™ chez nos clients, la Perfect ne jouit que de peu de temps pour prendre du recul sur le projet Perfect. Le département Communication est ainsi ravi de tendre le micro à ceux qui ont fait le passé, qui font le présent et qui incarnent le futur de la société Perfect Memory. Julien : « Le Devops aide tous les acteurs de l’entreprise à travailler plus efficacement et à suivre les meilleures pratiques de sécurité » Bonjour Julien, merci d’avoir accepté de répondre à nos questions. Pour nos lecteurs, peux-tu te présenter en quelques mots ? Je suis Julien Pervillé, 42 ans, 3 enfants. Mon poste chez Perfect Memory est « ingénieur DevOps ». J’ai rejoint le navire Perfect Memory en 2013, même si je connaissais de nombreux membres de La Perfect avant. Peux-tu nous parler de ton parcours avant d’intégrer La Perfect ? J’ai découvert l’informatique sur le tard, quand j’étais en classe de seconde (en 1993). Très vite, j’installe des systèmes exotiques comme NetBSD sur mon ordinateur, ce qui débute ma carrière informatique. Passionné par Linux et le langage Ruby, que je découvre à l’IUT, je n’ai aucun problème à obtenir mon DUT Informatique. J’obtiens mon diplôme d’ingénieur en Informatique de l’Université de Technologie de Compiègne (UTC) en 2007. C’est toujours à Compiègne que j’ai mon premier emploi salarié, chez SkemA, startup crée par Steny Solitude. L’innovation de SkemA était le « formulaire audiovisuel », un concept révolutionnaire qui préfigurait déjà l’approche sémantique de Perfect Memory. En 2009, je fais la connaissance de ma future épouse, une birmane qui se spécialisait en chirurgie cardiaque à l’hôpital Henri Mondor de Créteil. Je deviens amoureux de l’Asie et de la Birmanie (Myanmar) en particulier. 2010 fut une année importante pour moi : non seulement je me suis marié mais je décide de m’expatrier en Birmanie (Myanmar) en 2011. En ces temps-là, la Birmanie était une dictature militaire et les conditions de mon métier d’informaticien sont difficiles : internet peu fiable, « trop cher » pour le marché local etc. La censure et la lenteur de l’internet local m’ont appris à maitriser le chiffrement et les proxies http, talents qui me sont forts utiles aujourd’hui. J’ai aussi appris quelques rudiments de Birman à l’Alliance Française de Rangoun et m‘y suis fait de nombreux amis. 2010 c’est aussi les débuts de Docker, un logiciel qui va révolutionner le déploiement des applications informatiques. Pour compléter mes revenus birmans insuffisants, je commence à collaborer avec Steny Solitude comme administrateur système freelance, d’abord en télétravail depuis Yangon, puis 6 mois par an en présentiel. Je rejoins officiellement Perfect Memory en 2013 et ma famille se relocalise à Clermont-Ferrand en 2015. Depuis, La Perfect a bien grandi et j’ai même depuis cette année un collègue DevOps ! Julien et sa famille à Tokyo (Japon) en 2015 Peux-tu expliquer à nos lecteurs quel rôle tu joues dans la Perfect ? L’ingénieur DevOps est en fait l’Administrateur Système du XXIe siècle. Avec ses deux casquettes « dev » (programmation) et « ops » (administration système), il aide tous les acteurs de l’entreprise à travailler plus efficacement et à suivre les meilleures pratiques de sécurité. Mon travail est très varié : – je développe les outils permettant aux ingénieurs R&D d’être plus efficaces dans leur travail (outils de tests, intégration continue etc) – je conseille les “Professional Services” de Perfect dans la réponse aux appels d’offre, – je déploie les plateformes Perfect Memory pour les clients et m’assure que ces plateformes fonctionnent bien (backups, monitoring, performance) – enfin, je veille au quotidien pour identifier les technologies d’avenir. Au quotidien, je m’efforce de suivre les 3 vertus du programmeur selon Larry Wall [*] : lazyiness, impatience et hubris. – la paresse (laziness) me force à automatiser le déploiement des plateformes Perfect Memory – l’impatience me conduit à optimiser les étapes de développement : téléchargements, temps de compilation et de tests, – l’orgueil (hubris) me rend immensément fier de mon travail et me pousse à le présenter en public (conférences etc). La vision partagée au sein de La Perfect est large, comment l’expliquerais-tu au grand public avec tes propres mots ? La vision de Perfect Memory pour moi c’est de revaloriser la connaissance en jetant un regard « sémantique » dessus. Un peu comme le progrès technologie permet d’extraire plus de pétrole d’un puits mature, la sémantique permet de faire apparaitre de nouvelles connaissances à partir du stock d’information de l’entreprise, connaissances qui sont immédiatement valorisables. La technologie de Perfect Memory a le potentiel de changer le monde et c’est pourquoi je suis si fier d’être membre de La Perfect. Perfect Memory dans 5 ans, c’est quoi pour toi ? Je pense que Perfect Memory est en train de devenir un acteur incontournable du MAM/DAM dans le monde des médias. Mais je pense que dans les années à venir de nombreuses entreprises pas forcément du monde des médias vont découvrir et adopter l’approche Perfect Memory, comme le PSG l’a fait récemment. En tant que DevOps, mon rêve est de pouvoir déployer en un click des installations de la plateforme par milliers sur le “cloud”, d’industrialiser la sémantique pour les masses. Peux-tu nous parler d’un hobby ou d’un centre d’intérêt qui te tient à cœur ? Je m’intéresse à l’économie et en particulier à l’investissement en Bourse. Ce hobby est assez mal vu en France mais je pense que tout comme mon métier de DevOps, pour réussir ses investissements il faut avoir une vision de long terme, être humble, rester ouvert à ce qui marche et savoir toujours se remettre en question. Un message à adresser à la communauté Perfect ? La Perfect va continuer sa croissance, j’en suis convaincu ; souhaitons-lui de conserver son âme de startup, la gentillesse de chaque membre et bien entendu de continuer la tradition des afterworks ! [*] Auteur du langage de programmation Perl ...
Plus

Raffiné™ dans le guide Archimag « Gérer et valoriser ses ressources multimédia »

Belle victoire pour Perfect Memory en ce mois d’avril 2020 ! Perfect Memory est référencée parmi les fournisseurs français de Digital Asset Management Systems dans le guide « Gérer et valoriser ses ressources multimédia » du magazine Archimag. Ce guide, publié dans le numéro 66 du magazine, est destiné aussi bien aux organismes culturels, musées, agences de communication, collectivités, labels de musique, chaînes TV ou départements marketing d’une enseigne de la grande distribution. Le « DAM » est ainsi un outil transversal à ces champs d’activité. Archimag s’est lancé le défi d’accompagner les acheteurs de ces organisations en fournissant un panorama des solutions françaises ou basées en France existantes. L’enquête rassemble un descriptif de chaque solution accompagné d’un « radar » synthétisant ses principales caractéristiques. Raffiné™, le produire phare de Perfect Memory, trouve ainsi sa place en page 49 parmi la liste des DAM français. Le produit fait l’objet d’une analyse selon plusieurs caractéristiques dont « interopérabilité », « user expérience », « gestion et partages des photos », « gestion et partage des vidéos », « automatisation et IA » et « édition et publication ». Le bilan de l’analyse faite par Archimag est très positif, plaçant la solution Raffiné™ en tête des attentes des acheteurs pour la majorité des caractéristiques. L’unique caractéristique où la note de Raffiné™ n’est pas au maximum constitue un marqueur intéressant pour l’équipe Perfect Memory. Comment améliorer la compréhension de notre produit, comment construire des fonctionnalités toujours plus proches des besoins des acheteurs ? Ces questions stimulent l’équipe et se concrétisent en autant d’étapes dans notre feuille de route produit. Le magazine est disponible en format numérique et papier, sur le site d’Archimag. Archimag est un magazine professionnel mensuel publié par la société IDP, filiale du groupe Serda. Il s’adresse aux spécialistes de l’infodoc (bibliothécaires, archivistes, documentalistes, responsables de veille stratégique, membres des directions informatiques, …), domaine dans lequel le titre est considéré comme un des périodiques de référence. Le magazine Archimag est publié par la société IDP Information Documentation Presse, Sarl au capital de 40 000 € (RCS Paris B 398 728 204). Son siège social est au 24, rue de Milan 75 009 Paris Pour les contacter : infos@archimag.com ...
Plus

Portrait de la Perfect #6 : Stéphane Roucheray

Tous les mois, Perfect Memory vous propose un contenu d’un type un peu particulier : un portrait d’un des collaborateurs de la Perfect. Toujours sur la brèche pour délivrer nos plateformes Raffiné™ chez nos clients, la Perfect ne jouit que de peu de temps pour prendre du recul sur le projet Perfect. Le département Communication est ainsi ravi de tendre le micro à ceux qui ont fait le passé, qui font le présent et qui incarnent le futur de la société Perfect Memory. « Tout comme le conducteur de voiture ne se rend pas compte de l’ingénierie du moteur ou de la boite de vitesse, la technique ne doit pas être visible dans une interface et les frottements réduits au minimum.» – Bonjour Stéphane. Pour nos lecteurs, présente-toi en quelques mots. Je m’appelle Stéphane. En 2020 j’ai 41 ans. Je suis pacsé et j’ai deux enfants de 8 et 9 ans. Peut-on se présenter soi-même ? Je vais plutôt dire ce que je m’efforce de pratiquer et d’améliorer dans ma vie professionnelle ! D’abord, j’adore ce que je fais et je garde une appétence pour le nouveau, dans le mouvement perpétuel du Web. La curiosité et l’envie d’apprendre sont des moteurs fondamentaux dans mon métier. Mais mon activité est d’abord un travail collectif. Pour qu’un groupe fonctionne bien, l’empathie est probablement la qualité principale à développer. Se mettre à la place des autres est un exercice difficile, mais indispensable au bien-être de tous. Enfin, nos métiers agissent sur la société. Ils changent la manière dont les gens travaillent, vivent. Parfois de manière radicale. Nos actes ont un impact qu’on maîtrise mal, après tout, nous ne sommes que le simple maillon d’une grande chaîne. Je me demande régulièrement si ce que je fais est bien du point de vue de la technique bien entendu, mais aussi de la morale. J’essaie d’avoir une éthique. – Quel est ton parcours avant d’intégrer la Perfect ? Je suis né dans les Alpes, j’ai fait des études dans l’audiovisuel au détour du changement de siècle, d’abord à Bayonne, puis après ma maîtrise que j’ai faite à Valenciennes j’ai travaillé pendant 10 ans chez un éditeur de logiciels, de montage vidéo et de mixage son, sur Paris. J’ai participé à la « numérisation » des rédactions des chaines de télévision (France2, France3, M6, Arte, TV5Monde, France24…). À l’époque, les journalistes revenaient de reportage avec des rushes sur cassettes Betacam. Ils devaient monter leurs sujets pour le JT à partir de ces cassettes. Si un deuxième sujet utilisant les mêmes images devait être fabriqué, il fallait attendre que la cassette soit disponible. C’était il y a vingt ans. On a installé des ordinateurs pour le montage à la place des magnétoscopes, on a connecté ces ordinateurs en réseau pour pouvoir partager les images entre postes de montage. On couplait plusieurs disques durs ensemble pour avoir des débits d’images suffisants pour le montage. Aujourd’hui, tout ça semble acquis et même un peu daté, à l’époque ce fut une révolution technique et sociale. Comme pour tous les secteurs d’activités touchés par le numérique, beaucoup de métiers ont évolué, d’autres ont même disparu. Le journalisme audiovisuel a été bouleversé définitivement. C’était aussi le début des chaines d’info en continu. Ma vie personnelle m’a ensuite amenée à Clermont-Ferrand, mais l’audiovisuel professionnel dans lequel j’évoluais était concentré dans la région parisienne. C’est donc à ce moment là que je suis devenu développeur front. Changer de métier est une expérience riche mais pleine de barrières. J’avais, selon moi, les compétences requises, mais pas la bonne expérience professionnelle. Heureusement, j’ai trouvé, dans une agence Web du coin, du soutien et des gens qui m’ont fait confiance. Je les en remercie encore aujourd’hui. Je me suis d’abord spécialisé dans le développement Flash et ActionScript (AS3), une technologie et un langage de programmation d’Adobe très en avance sur ce que proposaient les navigateurs Web à l’époque. Je fabriquais des jeux, des animations immersives, j’œuvrais dans un studio avec des graphistes talentueux qui sont restés mes potes. Notre travail était très créatif et la demande forte. Deux événements ont ensuite fait basculer ma vie, l’un personnel et l’autre international. Le premier fut la naissance de ma fille. J’ai pris un congé parental de quelques mois pour m’occuper d’elle et de son frère. Le deuxième fut l’annonce, par Steve Jobs le 10 avril 2010, n’autorisant plus Flash à fonctionner sur les iPhone. Quand je suis revenu de mon congé parental, plus aucun client ne voulait de Flash. Je suis passé d’un temps plein sur cette technologie à rien. Grosse réflexion sur l’espérance de vie des technologies qu’on maîtrise et des orientations professionnelles qui en découlent. J’avais un peu senti le vent tourner et j’ai basculé mon activité sur JavaScript, le langage des navigateurs. Le choix était logique, mais on a beaucoup perdu parce que Flash c’était des outils de collaboration communs entre graphistes et développeurs qui nous permettaient de parler la même langue. Après une décade on n’a toujours pas récupéré ce qui a disparu. 2020 est par ailleurs une année symbolique de ce point de vue puisqu’elle signe la fin définitive de Flash. Après presque 10 ans passés en agence, en 2016, j’ai été embauché par Perfect Memory. Je ne connaissais pas le monde des startups, mais ce fut le début d’une nouvelle aventure avec de belles rencontres ! Ah ! Et puis en 2019 et 2020 je me suis expatrié avec ma famille à Cardiff au Pays-de-Galles, j’expérimente avec succès le travail à distance pour un an ! – Peux-tu expliquer à nos lecteurs quel rôle tu joues dans la Perfect ? Je suis développeur front. Je développe les interfaces graphiques pour nos clients. C’est à la fois la partie émergée de notre plate-forme et la seule chose que voient les utilisateurs qu’on appelle « finaux ». Ils sont journalistes, documentalistes, archivistes, ils s’occupent de fonds documentaires, produisent des contenus sportifs, commercialisent ou achètent des images de conférences internationales, gèrent des flux continus de vidéos, de sons ou de textes. Ces professionnels ont des besoins variés. Nous leur proposons des interfaces en partant toujours de leurs métiers préalablement analysés et modélisés. Nous les ajustons ensuite de manière itérative à leurs usages pour qu’elles deviennent évidentes. Tout comme le conducteur de voiture ne se rend pas compte de l’ingénierie du moteur ou de la boite de vitesse, la technique ne doit pas être visible dans une interface et les frottements réduits au minimum. J’envisage mon métier comme de l’artisanat au service des utilisateurs. Alors bien sûr, il faut généraliser, trouver des points communs entre métiers, proposer des solutions parfois inattendues à des problématiques métiers complexes. C’est un art subtil de compromis, de créativité et de maîtrise technique. L’écart entre une interface naturelle, une deuxième juste fonctionnelle et une dernière inutilisable est parfois mince. L’expérience des utilisateurs est notre maître étalon. – La vision partagée au sein de la Perfect est large, comment l’expliquerais-tu au grand public avec tes propres mots ? Les données n’ont pas de valeur si elles ne sont pas exploitées. Les exploiter c’est en tirer de l’information. Une information a de la valeur. Un répertoire n’a pas d’utilité avant que je puisse y trouver un lien entre une personne et son adresse postale. Souvent, les données ne sont pas regroupées au même endroit, on doit donc faire des liens entre différentes sources de données pour produire de l’information. En reliant les données de stocks d’un entrepôt et ceux des achats clients, on peut anticiper le réapprovisionnement. Ce type de lien n’est pas trop difficile, il suffit d’avoir un code produit commun au stock et aux achats clients. Mais ce lien n’est pas toujours aussi évident, parfois il peut être caché, ou même inconnu. Une donnée unique peut aussi contenir plusieurs niveaux d’informations, une vidéo a des images, des sons, des sous-titres, un texte peut avoir des chapitres, des notes de bas de page, des références… Dans ce cadre, une recherche, même d’expression simple, peut s’avérer très difficile à résoudre. Imaginez si vous cherchez tous les films dont les deux acteurs principaux sont en couple dans la vie. Ou bien si vous voulez compiler les séquences de la dernière coupe du monde de foot où un but a été marqué depuis l’extérieur de la surface de réparation. Ou encore si vous voulez référencer les discours que le Président de la République a prononcé « en présence » du Premier ministre. Ces difficultés sont levées par l’élévation sémantique de l’information. L’élévation sémantique est à l’information, ce que l’information est à la donnée. Elle lui donne une valeur qu’elle n’avait pas, qui était cachée. Elle permet de mieux la comprendre en créant des liens logiques. Logiques pour l’homme. Elle extrait la connaissance de la masse, elle raffine. C’est à ça que sert notre plate-forme : raffiner l’information. – Perfect Memory dans 5 ans, c’est quoi pour toi ? À l’ère de l’information, il y a peu de constantes et beaucoup de variables. Néanmoins, des enjeux internes et externes se dessinent. Ce qui m’a frappé en arrivant chez Perfect Memory c’est sa capacité à questionner son mode d’organisation et à le changer quand c’était nécessaire. C’est probablement une caractéristique des startups qui marchent. Je crois que le principal enjeu dans les années à venir pour nous est de continuer dans cette bonne gestion des changements. Car la modification d’échelle (croissance et recrutements) qui est en train de se produire ne manquera pas de générer des changements. Sur les enjeux externes, ce sera, évidemment, de continuer à montrer notre capacité à innover dans les médias et à proposer de nouvelles modalités de raffinage et d’exposition de l’information dans d’autres secteurs d’activité (le sport est un exemple très prometteur). Nous avons plein d’idées ! – Peux-tu nous parler d’un hobby ou d’un centre d’intérêt qui te tient à cœur ? Je suis avide d’information, j’essaie de comprendre le monde dans lequel je vis. Je lis beaucoup et de tout, des essais politiques, de la vulgarisation scientifique, des livres d’histoire, des ouvrages techniques sur les langages et les pratiques de programmation. De la fiction aussi, je choisis en général des auteurs reconnus, de la science-fiction, de la politique-fiction, des romans historiques, les classiques français et parfois étrangers. J’écoute la radio, souvent en podcast. Je regarde la vulgarisation scientifique sur Youtube, parfois de très bonne qualité. J’aime les documentaires surtout sociétaux. – Un message à adresser à la communauté Perfect ? Ne négligez jamais le commentaire d’un utilisateur sur votre application. C’est pour lui que vous la fabriquez. Stéphane à Big Pit, Pays-de-Galles en novembre 2019. Crédits ©S.Roucheray ...
Plus

#EnBref 2 : Activer les facettes pour filtrer le catalogue de Trouvé™

Tous les mois, nos produits Raffiné™ et Trouvé™ bénéficient de nouvelles fonctionnalités construites par la Perfect. Partenaires qui utilisez nos interfaces utilisateur au quotidien, internautes qui découvrez ou qui suivez Perfect Memory depuis longtemps, la Perfect est ravie de vous proposer d’en apprendre plus sur Raffiné™ et Trouvé™. Chaque trimestre, une fonctionnalité est passée au crible et introduite pour la rubrique #EnBref. Bonne découverte ! En design d’expérience-utilisateur, la recherche par facettes est un motif à la croisée de deux concepts : la recherche dans un site et la navigation par facettes. Cette dernière est une forme de navigation où l’utilisateur peut filtrer les contenus de la page en fonction de critères. Ils peuvent s’additionner entre eux afin d’offrir des résultats de recherche de plus en plus précis. La recherche par facettes est une fonctionnalité de Trouvé™ permettant à l’utilisateur de filtrer le catalogue de documents en choisissant un ou plusieurs critères, les facettes. Il s’agit ainsi moins d’une recherche que d’un filtrage, utilisé en complément d’une recherche brute, plein texte. L’activation de facettes vient compléter en un clic une recherche textuelle saisie Étape 1 : Activer une facette Situées sur la gauche de l’écran, les facettes sont au nombre de neuf dans la version générique de Trouvé™. Chaque facette comprend plusieurs propriétés et cliquer sur une ou plusieurs d’entre elles réduit le nombre de documents dans la liste des résultats. Aperçu d’une partie des facettes génériques de Trouvé™ Par exemple, la facette « Source » comporte la liste des chaînes d’où proviennent les documents du catalogue. L’utilisateur qui ne souhaite consulter que les documents appartenant à une seule chaîne peut programmer sa recherche en un seul clic. Dans l’exemple suivant, en sélectionnant la chaîne BBC News appartenant à la facette « Source », j’obtiens instantanément les trois documents de mon catalogue qui parlent de « ronaldo » et qui ont été diffusés sur cette chaîne. J’active la facette « Source », choisis une source et obtient les documents diffusés sur BBC News Bon à savoir : depuis la vue des résultats de recherche, utiliser le raccourci « f » pour plier et déplier les facettes Étape 2 : Désactiver une facette sélectionnée L’utilisateur peut à tout moment désélectionner une facette activée en cliquant sur la croix orange située à la droite de la facette. À cette occasion, la facette reprend son état initial dans la liste des facettes, tandis que les résultats sont actualisés. Étape 3 : Activer des facettes en simultané L’utilisateur a la possibilité d’activer en simultané autant de facette qu’il désire. En cumulant les facettes, le nombre de documents présentés se réduit et l’utilisateur peut plus facilement trouver le document souhaité. De la même manière, une facette sélectionnée peut à tout moment être désactivée en cliquant sur la croix. Bon à savoir : rechercher des documents dans Trouvé™ à l’aide des facettes permet automatiquement d’obtenir au moins un résultat. Fini la mention « Zéro résultat » avec les facettes ...
Plus